Geopolitic Analysis

Seront représenté dans cet Atlas du monde, quelques cartes de ma création. Ayant la vertu de représenter les terres sans distorsion, la projection polaire sera privilégiée. De plus, je laisse volontairement les frontières actuelles. C'est ici que je veux l'originalité de mon travail : l'ensemble, vu "d'en haut", permet d'avoir en quelque sorte une vue globale sur l'histoire et la géographie du monde. L'on se rend compte des proportions réelles, à l'échelle du globe, d'ensembles historiques bien connus. 1. Les empires aux extrémités de la route de la soie. Durant l'Antiquité, pendant quelques siècles, Rome et la Chine, sans pour autant bien se connaître mutuellement, voient un commerce florissant se développer entre eux. Par contingence, les deux régions du monde s'unifient en une civilisation, une culture, un empire, à peu prés en même temps. L'empire Parthe ou l'empire Kouchan ne sont pas représentés sur cette carte, mais

Le plus grand pays du monde qui attise les passions en Occident, tiraillé entre une identité européenne héritière de Pierre le Grand, ou plus tourné vers l'Asie, mérite qu'on le comprenne d'avantage, en s'aidant par des cartes inédites. 1. L'Empire de "toutes les Russies", se revendiquant "IIIe Rome" sous les tsars A son apogée en 1867 avant la vente de l'Alaska aux Etats-Unis. Figure le drapeau impérial russe et ses petites armoiries. Les frontières des autres pays sont actuelles. 2. Le bloc communiste dans la guerre froide, à son apogée vers 1980 Figure des pays communiste non forcément allié à l'URSS comme la Yougoslavie et la Chine. Youri Gagarine illustre la 1ere victoire dans la course à l'espace. 3. La Fédération de Russie dans le monde contemporain Figure les logos de deux grands relais de l'influence russe contemporaine à l'étranger : Russia Today et la milice Wagner.  Désigné par "sphère russe" : "l

Article pour l' Observatoire Stratégique pour l'Europe et la Méditerranées de l'Université Clermont Auvergne. « J e   vais être très  clair avec  Vladimir Poutine (...) s’il agit de la même façon que par le passé en matière de cybersécurité et d’autres activités, nous répondrons » n’hésite pas à déclarer Joe Biden  à l’occasion du sommet de l’OTAN du 14 juin 2021. La diplomatie américaine semble en effet, depuis la fin du mandat Trump, beaucoup plus encline à utiliser un vocabulaire virulent envers des ennemis de nouveaux clairement désignés. Derrière les Etats-Unis, nécessairement, c’est l’Alliance Atlantique qui est entraînée dans la voie de la confrontation dans le cyber-espace. Si son sens à évolué, « cyber » désigne aujourd’hui, en somme, ce qui se rapporte à internet. La problématique stratégique derrière ce terme est celle de l’information et des réseaux p